Au bout du compte
On y est enfin ! Jean-Luc se pare de ces derniers atours. Bien sûr, il reste de la place pour quelques buissonnants, fleurs et autres couvre-sols, mais le plus gros est implanté.
Comme on l’évoquait dans l’article « Les derniers arrivés », on a commencé à rapatrier les boutures réalisées l’an passé. Et là, il y a micmac entre certaines qui semblent bien parties, d’autres qui stagnent et celles qui ont des étiquettes effacées (pff!).
Parmi les boutures (et quelques marcottes) qui semblent bien parties, on a : Abutilon, Ajonc, Argousier, Buis, Buddleia, Baie de goji, Cassis, Chèvrefeuille, Eleagnus, Figuier, Fusain, Groseillier, Hoya, Laurier-sauce, Lilas, Lonicera, Néflier, Millepertuis arbustif, Photinia, Pommier, Poivrier du sichuan, Rosier, Sophora, Viorne Lantane, Viorne Obier, Weigela Florida… sans oublier les plants mystères (une petite dizaine).
Bref, il nous reste 1/4 des boutures en attente de plantation.
Et dans cette attente, on va enfin nommer et rendre hommage aux « derniers arrivés », toujours par provenance :
Laure : Orme champêtre, Merisier, Saule Argenté, Lilas, Jasmin d’été (en bouture direct), Sauge à petites fleurs (en bouture direct), Prunellier
Élisabeth : Aubépine , pyracantha, prunier
Bouture : Sophora, Viorne Obier, Lonicera
Pépinière de Taurignan : Arméria Maritima Spendicus, Lathyrus Verruis, Violette Vinca Minor La Grave (ah, les noms latin, ça fait rêver…)
Pépinière collective : Pommier, Abricotier, Amandier, Cerisier, Kaki, Cognassier, Noyer
Pépinière des Gazelles : Argousier, Aronia, Bouleau blanc, Chèvrefeuille des haie, Châtaignier, Charmille, Épine-vinette , Eleagnus Ebbingei, Eleagnus Chalef Limelight, Érable de l’Amour, Érable Sycomore, Forsythia, Groseillier, Hêtre, Mahonia, Noisetier, Prunier Myrobolan, Photinia, Saule crevette, Saule marsault, Spirée , Symphorine Albus , Sorbier des oiseaux, Viorne Cotonneuse.
Bilan
Il reste 30 places de libre sur la deuxième ligne et beaucoup de couvre-sol à trouver et à disposer sur la petite pente, côté route ou face ouest, donc le moins haut du trapèze qu’est la forme du talus dans cette phrase presque sans fin.
Oui, sans fin; comme la conception de Jean-Luc! Car il nous faut encore semer de l’autre côté du talus et repailler.