Il vente, il pleut, il gèle…

Il vente, il pleut, il gèle…

Ok, c’est l’hiver ! Soulignons quand même que le département était en alerte rouge : crues, pluies et inondations (c’est plutôt rare par ici). Un temps à rester au chaud ou… à observer le mode intempérie (à défaut de planter, laissons-nous submerger par la puissance de l’eau).

Premier constat : le vent dominant vient bien de l’ouest.
Deuxième constat : le cours d’eau ne déborde pas mais le débit reste impressionnant.
Troisième constat : les arbres fleurissent de gouttes de pluie.

Focus sur un cours d’eau au nom très heroic fantasy : Tarac

Habituellement paisible, le riou Tarac conserve à l’année un niveau plutôt bas. Il traverse sinueusement le terrain sur 115m (et se prolonge du double côté bois). Chacune de ses arabesques dessinent un paysage (en miniature) : plages ou gorges aux rives larges ou étroites.
Des arbres pliés, couchés, déracinés jalonnent le cours d’eau et sculptent des ambiances féeriques.
Voir ci-après les photos : le poulpe-éléphant et l’arc-lierre de triomphe (images avant et pendant la crue).

Mais comment exprimer l’agitation, le déchaînement, les décibels qui animent parfois Tarac ?
Comment vous faire ressentir le mal de canyoning qu’inspire ce parcours ?
Le mieux est encore une vidéo… Et pour les plus curieux, en bonus : le film en accéléré (pour vivre l’expérience Tarac en 4D, ou presque).