Bizarre, bizarre
Parfois, les évènements semblent étranges. Souvent, on accepte leur présence (à défaut de comprendre) et on note assidûment leur existence (pour mieux se rappeler des faits). Mais quand ils passent d’exceptionnels à incongrus, alors là, on est perdu !
C’est pas étrange, juste incohérent !
On avez référencé des poules mortes dans le Tarac (au niveau du pont) : 5 l’an passé (en juin) et une fin mars. Début juin, on a trouvé ce qui pouvaient être des viscères de poules (pas de photos, emportées par le ravinement).
On s’était demandé quel animal pouvait faire ce genre de choses… enfin, jusqu’aux viscères. Car à notre connaissance, personne n’a jamais vu de renard avec un couteau (?) !
En fin de semaine, on a eu notre réponse avec une nouvelle poule morte balancée du pont. L’énigme est presque résolut : l’animal c’est l’homme !!!
On a bien vu une voiture s’arrêter et une personne mettre la poule morte dans l’eau (mais on était trop loin pour réagir). Pas à côté, pas n’importe où. Non, dans l’eau !!! Et franchement, on a beau se triturer le cerveau, aucune explication rationnelle ne nous vient à l’esprit. Est-ce un rite ou un rituel, le fait est que : “Si les singes savaient s’ennuyer, ils pourraient devenir des hommes.” Goethe
Qui sème le vent…
Dans les autres nouvelles, y’en a des bonnes et des moins bonnes.
Déjà, on a fait notre première récolte de fèves et petits pois. C’est pas mal par rapport aux conditions de culture. Mais il faut tout de même remercier la pluie.
Puis, un nouvel arbre mort est tombé. Faut dire que tant qu’on ne prendra pas le temps d’entretenir le bois, ce genre d’évènement risque de se répéter encore et encore.
Et aussi, la cuve est archi-pleine. Il faut vraiment terminer le trop-plein…
Un ‘ti rafraichissement ?
Pour la 3ème fois cette année et 1 mois après la dernière, on tond les chemins principaux.
On termine par Jean-Luc, la haie, mais sans trop forcer… On préfère garder de la matière pour contrecarrer la probable sécheresse à venir. Par contre, on a bien éclairci le fossé (beaucoup de rejets de frêne et peuplier).
Puis on en profite pour dégager le tunnel. L’objectif : donner un peu de lumière aux plants tout en conservant la masse qui les protège des chevreuils. On rafraichit encore la ligne de tournesol (les tamiers ont tendance à grimper dessus et à les plier).
Enfin, il nous restait encore nos semis d’amarante à placer. Au début, on pensait les mettre dans la haie (Jean-Luc) pour « combler » les vides. Mais là, plus de vide en vue ! Alors, l’opportunisme faisant foi, on profite de l’espace libre sur le troisième pan du tunnel pour y mettre nos plants (ils auront plus de chance de s’en sortir en dehors de la jardinière).