Diviser pour multiplier

Diviser pour multiplier

On continue sur notre lancée (cf. « Les nouveaux arrivés » dans l’article « Un tour d’horizon : plein soleil« ) : on décuple, on pullule, on clone; bref, on bouture ! Donc même technique, on glane (en conscience et respect) de-ci de-là, en chemin ou chez des amis. Et puis surtout, on remercie.
Chez Laure : néflier, verveine citronnée, rosier, mûre sans épines, camerisier, mûrier platane, viorne, sarriette, romarin, véronique panaché, jasmin d’été, buddleia, sorbier des oiseleurs.
Sur le terrain : églantier, fusain d’Europe, aubépine.
Sur des chemins : arbre à perruque, grenadier, romarin, jasmin d’été, jasmin d’hiver, mahonia, vigne vierge, viorne, rosier.

La taille au naturel ?

Après le manque d’eau, c’est les chevreuils qui ont faim !
Les pertes semblent minimes : une ou deux branches scrunchées qui dépassaient des « tipis » de protection (cf. Planter en mode Land Art) et quelques feuilles d’arbustes qui n’étaient pas protégés (eh wouai ! il en restait!) : l’aronia et le vinaigrier (sumac de virginie). C’est à croire qu’ils mangent vraiment de tout !!!
Heureusement, les « tipis de ronces » donnent de bons résultats, mais cette éphémère protection nécessite de l’entretien.
Cette dernière attaque nous incite donc à renforcer, agrandir et consolider nos défenses. En gros, une bonne journée de travail entre la découpe des ronces et leurs mises en place.