C’est la rentrée, sauf pour la pluie !

En ce début d’année scolaire, on reste en mode solaire : les UV comme épreuve, la sécheresse en cartable.
Rétrospective et prospective
La présence de l’eau en cette période de disette semble juste fondamentale. Alors on scrute scrupuleusement toutes ses formes : la rosée et l’humidité (évapotranspiration et zone de condensation), les éventuelles résurgences et le niveau du Tarac. Ces éléments sont essentiels pour l’aménagement du site et la gestion de l’eau.
À ce sujet, nous conseillons la lecture de l’article « Cultiver l’eau pour restaurer les sols et le climat » de La Vie Re-Belle – Une expérience d’oasis au Rwanda.
Et on a aussi envie de partager une vidéo proposée par Les Agron’Hommes : « La Syntropie : Revenir dans le Sens du Vivant – Anaëlle Thery. »
De quoi réfléchir, repenser, rêver…
Dans le bois
Pour le moment, on se contente d’observer. L’eau est toujours présente…
Tarac, le cours d’eau au niveau du pont
Ici, le niveau est bas. Mais il y a un niveau !!! C’est vraiment pas mal pour cet été 2022 (autres photos dans l’article : « C’est qu’il fait soif ! » ).
Et ailleurs
Concernant l’expérience carex (cf. « Et un en moins ! » ) : le foin s’est décomposé (juste que là, normal) et le carex repousse tranquillement. Et maintenant, on attend l’automne (et les champignons ?).
Et pour le plaisir, on termine sur Jean-Luc, la haie. Il ne s’en sort pas si mal…
Nous ferons un point en octobre sur les plantations. Car ce mois de septembre risque d’être décisif pour certains d’entre-eux.