On continue sur notre lancée (cf. « Les nouveaux arrivés » dans l’article « Un tour d’horizon : plein soleil« ) : on décuple, on pullule, on clone; bref, on bouture ! Donc même technique, on glane (en conscience et respect) de-ci de-là, en …
En ce début d’année scolaire, on reste en mode solaire : les UV comme épreuve, la sécheresse en cartable. Rétrospective et prospective La présence de l’eau en cette période de disette semble juste fondamentale. Alors on scrute scrupuleusement toutes ses …
En attendant la pluie, on a « peaufiner » le débroussaillage (encore & toujours) : les cheminements, la zone « sauvage » et les endroits des futurs plantations. Au final, encore un beau tas de ronce et autres trucs qui piquent.Puis les quelques gouttes …
Alors que l’ombre se fane, que les moustiques se gavent, que la gorge s’assèche, que les ronces s’étendent, que la peau se tanne, que le cerveau s’échauffe, brghhh … une phrase est toujours en tête : mais qu’il fait chaud …
Il faut sérieusement commencer à penser aux futurs plantations : trouver les emplacements et préparer le terrain.Pour faciliter le travail du sol, on va tabler sur l’occultation en réalisant une couverture. Comme nous n’avons pas de bâches, ni l’envie d’en …
Le contexte : fin avril, après avoir fait un test de remplissage (cf. article), nous avons pris quelques jours pour observer le niveau de l’eau. Il s’agit de localiser les fuites et voir à quelle vitesse l’eau s’évapore. N’oublions pas …
Normal, à priori… Par contre, ce qu’il y a d’exceptionnel, c’est de pouvoir communiquer avec « le sauvage ». Si on vous dit qu’on a parlé, pendant 2 minutes, à un chevreuil stationné à 20 mètres. Il semblait d’ailleurs plutôt attentif même …
Ou plus simplement, le petit résumé des faits-divers et variés qui forment notre quotidien : entre observation et matérialisation Un méga-tas ! Commencé en décembre dernier, le premier « nettoyage » forestier visait à ramasser un maximum de bois : troncs et …
Depuis notre arrivée à la Piboulade, il y a un petit coin qui nous interroge. Situé au pied des bois, à plus d’1m de dénivelé et côté rive droite de Tarac, à 3m du bord. L’endroit est particulièrement boueux et …
Bien que Jean-Luc n’est pas l’air de trop souffrir, la sécheresse caniculaire s’installe et semble s’amplifier. Alors cette fois c’est décidé ! On se lance dans un grand arrosage (le premier depuis les plantations en février/mars). Et qu’ça pompe ! …
