De l’argile, pour quoi faire ?

Tout d’abord, pour consolider le soutènement du parking.
Pour mémoire, consulter les articles « Ça met en forme » et « Sous les carex, de l’argile ».
Bien évidemment, à peine le temps de rapatrier la terre sur un côté, qu’on se trouva fort dépourvu, quand la pluie fut venue…
On pourrait en avoir mare. Qu’à cela ne tienne ! La pluie, ça a du bon aussi : ça arrose et ça remplit.

D’ailleurs, c’en est tellement impressionnant, qu’on a bien envie de voir jusqu’où l’eau peut monter.
C’est le moment de tester le groupe électro et le tuyau. Par contre, on a emprunté la pompe (la nôtre étant en réparation et peut-être pas adaptée ?). Bref, c’est parti !

Ce fut long.
Premièrement, parce que le groupe électro a bien chauffé et même disjoncté (nous obligeant à rester à ses côtés). Deuxièmement, parce qu’on l’a fait par session, pour laisser le temps à l’eau de s’imprégner dans l’argile. Troisièmement, ah non. Y’a pas…

Mais pendant c’temps là, comme si des ondins avaient murmuré quelques notes d’un poème aquatique, l’inspiration pris le pas sur l’attente.
Les mottes se brisent, les contours se dessinent, même que des jacinthes, de la mousse et des nénuphars apparaissent. Non ! Ce n’est pas que de la magie. Merci Philippe !
Au final, 3 jours après, on est quasi à niveau. Il ne reste plus qu’à observer la suite…