Du quotidien, tagada tsoin tsoin

Encore un article en vrac et en retard !
Qu’il s’agisse d’évènements inopinés ou des « chantiers » en cours (ou en attente), la priorité du moment est aléatoire, capricieuse, imprévisible voire agaçante. Il est encore bien compliqué de s’organiser et les comptes-rendus sont tout autant confus…
Énorme : des cassis !
C’est des amis du coin qui, au moment de tailler leurs cassissiers, on fait ces boutures et… ont pensé à nous ! Ça fait super plaisir : une bonne soixantaine de plants (comme c’était un peu beaucoup, on a partagé), avec une odeur merveilleuse et alléchante. Merci Clara et Tanguy.
Et là, on expérimente !
On les a planté dans les « haies » de nos cheminements, sans préparation du sol ni protection, mais avec paillage.
Ces haies de fortune sont en réalité des bandes enherbés qu’on a laissé poussé. Elles créent des espaces et abritent une multitude d’insecte. Peut-être peuvent-elles aussi accueillir d’autres plantations ?
En tout cas, pour ces 15 premiers jours, aucun nuisible en vue et une reprise plutôt impressionnante malgré le soleil de plomb.
Tu deviendras grand !
La météo s’annonce caniculaire pour la saison et nos petits semis commencent à avoir bien chaud, voire même chaud aux fesses puisque certains ont été dégustés par une souris squatteuse de caravane.
Alors, OK, on déménage dans le châssis ! Là aussi, bonne surprise : il assure bien sa fonction et aucune attaque en 15 jours ! On a même repiqué des plants dans la haie (Jean-Luc).
Autre expérience : on avait mis à l’eau des boutures de saules en fin d’année dernière. Et après plusieurs mois, elles ont raciné. C’est donc l’occasion pour reboucher rapidement la haie côté champs (avec les fusains implantés depuis peu).
Pour la petite histoire, l’agriculteur d’à côté, avait pris l’habitude de traverser cette haie pour aller dans son champs (sans hésiter à tailler sec pour faire passer ses engins). Rassurez-vous, il a d’autres accès…
On s’organise en lisière
Alors que la chaleur et les UV semblent ne pas affecter la végétation, nous on sue et on crame. De quoi donner l’envie de s’installer au frais. Et comme un message du destin, on a trouvé un bar abandonné à côté de la déchetterie fermée. Un plan de travail bien solide, trop chouette !!! Avec les palettes récupérées dans la zone artisanale, on commence à envisager une terrasse d’été.
Côté Pépibouturière, on se prépare une zone rempotage avec la construction d’un établi en palette.
La fin du tri
Nous revoilà encore dans le rangement des planches. Souvenez-vous, on a récupéré du « bois » et on avait même commencé à le trier. Et bien, ça y est (enfin presque, reste toujours des récalcitrants…). En tout cas, on y voit plus clair et on va pouvoir récupérer et transformer toute cette matière, sans trop traîner.