Il faut préparer le terrain !
Toujours en vue des futurs plantations, on travaille doucement le sol et on continue la multiplication des végétaux. Les dernières pluies nous ont motivé à aller voir ce qui se passait sous le foin.
Souvenons-nous, fin juillet : on appliquait la première couche de paille (« Et un en moins! »). Mi août, on débroussaillait et on mulchait pour la deuxième fois (« Piboulade » de souche !).
Nous voilà début d’octobre et en découvrant la couverture de paille, on est plutôt ravi; même si le sol reste lourd et argileux. Un petit coup de bêchage ne sera pas de trop pour y faire entrer un peu d’air. Puis on recouvre en attendant la suite…
Pour l’instant une seule zone a été effectuée : l’endroit qui accueillera le tunnel de grimpant. Il faut attendre une pluie plus conséquente pour s’attaquer à la zone praire.
Bouture et compagnie
On continue de squatter le jardin des amis. Il y a toujours de belles trouvailles et parfois même des petits plants qui attendent d’être cueillis prochainement.
Pour cette session : Merci Coco !, nous avons bouturé : hortensias, laurier d’Alexandrie, troène du Japon, muehlenbekie, néflier du japon, viorne obier, rosier, olivier d’Europe, morelle faux jasmin, arbousier, et récupérer des plants : bergénie, jacinthe, glycine.
On a aussi craqué sur des promos de la pépinière Naudet : pin pignon, cèdre du liban, kiwi boskoop, genêt à balais, cognassier du japon, hortensias, cornouiller blanc, mûrier noire, olivier commun, micocoulier.
Et puis, en rangeant tout ce monde dans la Pépibouturière, on se dit qu’il allait falloir trier !
Déjà, on met à l’extérieur les plants trépassés (à priori). Puis, on dispose à gauche, ceux qui vont être plantés prochainement et à droite ceux qui doivent attendre l’année prochaine. Par ailleurs, les plus petits et fragiles d’entre-eux, vont bientôt déménager dans la caravane; qui, comme l’an passé, fera office de serre.
Quelques plants ont été disposés sur le talus du parking. Et pour finir, on a commencé à faire des piquets qui entoureront nos zones de plantation.
On a aussi déblayer et remblayer !
Il devait être majestueux cet arbre ! En chutant, il a littéralement écrasé un de ses compères. À vue d’œil, il a dû tomber l’an passé, avant notre arrivée sur le terrain.
Côté remblai, on s’est attaqué aux ornières. Pour combler les trous, on a vidé quelques brouettes de terre argileuse. Et pour la finition, on a broyé et étalé nos tas de ronces.