Le jour le plus court

Le jour le plus court

Ça y est, enfin les jours vont se rallonger et les températures probablement chuter. Eh oui, nous revoilà à parler de la pluie et du beau temps! Et puisque c’est un sujet récurrent, on va profiter de l’instant pour expérimenter « la petite année ». La tradition propose d’observer la météo des 12 jours suivant Noël (du 26 décembre au 6 janvier, l’épiphanie) pour prédire le temps de l’année prochaine (chaque jour correspondant à un mois de l’année).

Bon, c’est du folklore météorologique. Et qui dit folklore dit chansonnette…
Wouai, il existe même une comptine de Noël pour célébrer ces journées (ci-contre : une version courte et humoristique).

Quelques améliorations

Certes, c’est pas le bout du monde mais mis bout à bout, on arrive presque au bout. Bah, moins un p’ti bout, par petits bouts, plein de ti bouts, doudou (transition musicale destinée à évincer la mélodie précédente, trop entêtante).
Bref, en fonction des arrivages de matos, on peut continuer certains chantiers. Déjà, comme on a récupéré de la paille, on dispatche la fin du dernier ballot sur le potager. Et voilà, plus de foin!
Et comme on a récupéré un peu de gravier, on complète le niveau des marches (il en manque encore…).

Touchons du bois

Suite à la dernière mission bois, on s’est motivé à achever ce qui a été laissé en plan. Car si ça traîne trop longtemps, ces branches deviendront un terrain de jeu pour les ronces et autres broussailles. Et puis surtout, c’est pas pratique (sur les cheminements) et inquiétant (comme cette branche en lévitation).

Ça, c’est du bidon !

On a enfin reçu les raccords commandés en ligne. Pff…, c’est pas les bons diamètres. Cette fois, y’en a marre! Aux grands maux les grands remèdes! On décide de trafiquer une bidouille à l’aide d’un mastic bien chimique. Mais au moins, on peut replacer définitivement les réservoirs et finir de mettre à niveau le sol (avec 3 brouettes de sable mais il en manque).

On s’est aussi décidé à acheter des plaques ondulées en polyester pour compléter nos bouts (encore des ti bouts) de tôles. Le problème, c’est qu’en compilant ces supports, on va devoir corriger la pente. Il nous faut au moins 10% pour l’acier et 20% pour le plastique.
Nous voilà obligé d’ajouter une poutre pour compléter la hauteur. Comme d’habitude, il faut dénicher un bout (toujours un ti bout) à la bonne dimension et de préférence pas trop pourri (mission franchement pas facile). Une fois trouvé, on traite le bois et on ajoute des contreventements pour stabiliser l’ensemble (parce que la poutre était juste un peu lourde).

Et pour le plaisir

Avec ce climat ensoleillé, on s’en prend plein les yeux! Puisque toutes les feuilles sont tombées (pour celles qui devaient tomber), la lumière parcourt entièrement l’espace (à défaut du temps) et s’incline gracieusement sur cette frêle nudité.
Et pour finir en beauté cette année, on nous a donné des branches de forsythia à bouturer (Merci Laurent!) et on a reçu en cadeau un paulownia tortuosa (Merci Gabin!).