On n’est pas seul
Normal, à priori… Par contre, ce qu’il y a d’exceptionnel, c’est de pouvoir communiquer avec « le sauvage ».
Si on vous dit qu’on a parlé, pendant 2 minutes, à un chevreuil stationné à 20 mètres. Il semblait d’ailleurs plutôt attentif même si le monologue n’avait guère de sens. Bien sûr, impossible de prendre une photo.
Par contre, notre ami le ragondin a pris le temps de la pose, avec une indifférence totale, voire un je-m’en-foutisme exacerbé ! Pas du tout effrayé par notre odeur d’Homme, il s’est même pavané devant nous pendant 4 heures.
Depuis, il semble avoir pris résidence ici, esseulé, comme à la recherche d’un endroit « secure ». Notre anthropomorphisme a encore parlé, alors appelons-le Norbert !
Et parmi les animaux qu’on ne voit pas mais qui laisse des traces : nous avons de beaux spécimens de cacas. N’étant pas pisteurs, on sait pas qui a pris notre paillage pour une litière.
Des petits trous, encore des petits trous…
On en a déjà parlé (cf. : Canicule : Jean-Luc est vert ! et Petit interlude nuageux et aussi Ça coule de source !), et bien ça continue. Désormais, des trous et des bosses, y’en a un peu partout; enfin surtout là où l’on circule.
Alors oui, « Je vous parle d’un temps, que les moins de vingt ans, ne peuvent pas connaître », mais tous ces trous là,… ça donne envie de chanter !