Coup d’œil

En ce début d’été, on vit avec ébahissement la métamorphose du lieu. Les conditions semblent idéales pour la nature. Même qu’on n’a pas besoin d’arroser. Avec tout ce qu’on a planté, c’est un vrai repos pour le corps et l’esprit.
De temps à autre, on vérifie la « santé » (ou la présence) des végétaux plantés. On part à la recherche des arbres et arbustes ensevelis sous la végétation (ouf ! on les a presque tous retrouvé).
Et parfois, il nous arrive de redécouvrir des plantes qu’on avait presque oublié…
Vers l’infini et au-delà
Alors qu’on a déjà taillé sévère la menthe, le thym et la coriandre, la spirale aromatique déborde.
L’espace courge fleurit et la zone petits fruits se déchaine bien que nous n’ayons pas beaucoup de fruit. Après les attaques de fourmis (qui semblent s’assagir), on suspecte désormais le chat sauvage de manger nos fraises et framboises (voir de s’installer la nuit dans la tour à fraise).
Jean-Luc commence à muer
Les chevreuils n’ont qu’à bien se tenir (ou à se transformer en caribou) car la haie s’étoffe et prend de la hauteur. Et ça nous rassure (puisqu’on n’a pas fignolé nos tipis de protection cette année).
À chaque jour suffit sa peine
Cette fois, on attendu que les épisodes pluvieux passent pour dégager une seconde fois Tarac (à 2 endroits). L’objectif est toujours d’accéder à l’eau, comme autrefois…
Et, dans les autres tâches fastidieuses mais régulièrement nécessaires, on remue notre tas de BRF.
Pour mieux mélanger ce volume, on en utilise une partie pour complèter notre cheminement de BRF le long de la haie sauvage. Les fèves et petits pois disparaissent progressivement. On profite alors de l’espace libéré pour réaliser notre troisième session de plantation de tomates.
La récolte a été frugal (même si on a régulièrement grappillé quelques gousses : la récompense du jardinier). Il nous reste une vingtaine de cosses, qu’on laisse sécher pour récupérer la semence.
Une éclosion éclatante
Super nouvelle confirmée ! L’an passé nous avions remarqué la présence de marjolaine, côté prairie. Mais cette année, c’est juste improbable : la zone s’étale et semble nous indiquer l’emplacement d’un projet futur : la création d’un jardin médicinal.
On voit aussi apparaitre quelques plants oubliés : comme les ipomées et la cléome à feuilles de chanvre.
Un dernier rafraichissement ?
Quatrième séance de débroussaillage de nos cheminements (une vingtaine de jours après). Enfin, disons plutôt de tonte en mode green. Merci Sébatien, qui est repassé par là, avec sa super tondeuse.
Le travail est soigné et on espère, pour le coup, avoir calmer la végétation pour les 2 prochains mois (?).
Enfin, on entame un arrache rapide des grosses touffes qui s’installaient dans la montée du parking et de la « cavité ». On espère faire mieux dès que le soleil calmera ses rayons !