Ça se précise…
Pour nos futurs plantations, on a envie de réaliser une niche écologique. C’est dommage d’y penser que maintenant car on a tout tondu y’a deux mois. N’empêche que des ronces repoussent par endroit et qu’à la vitesse où elles grandissent, on devrait avoir un premier résultat au printemps prochain.
Donc l’idée, c’est de conserver les ronces. Pour ce faire, en enlève le foin et on les place sur des petits tuteurs (pour commencer). Comme c’est étrange de déployer notre énergie à préserver les ronces… C’est presque zen, comme activité.
Désormais, il est hors de question de bécher toutes ces parcelles ! Par contre, on sélectionne les endroits à creuser (visualiser par les piquets). C’est assez simple : ce sera là où la terre semble meuble et noire.
Pour les zones ci-après, y’a pas de ronces… On va certainement clôturer ou improviser en land-art.
Et puis surprise !!!
En scannant le terrain, à la recherche d’un endroit inédit pour les plantations, on a eu 2 belles surprises.
Tout d’abord une souche, qui a souhaité sortir. Si, si ! Elle a fait pouf, comme une carotte qui sort de terre.
Et puis, la zone carex !
On s’attendait à des nœuds épais de racines, des pieds de carex coriaces et récalcitrants, de l’argile brute et compact… Et non, la terre est meuble et habitée par endroits.
Ci-après, on se souvient… On a débroussaillé, mis de la paille et on a attendu.
Encore quelques boutures
Toujours au gré du vent, on continue d’expérimenter les boutures.
Sur le chemin : vigne vierge, grenadier, arbre aux perruques, cerisier pleureur, kiwi, saule pleureur, saule tortueux et chez les amis (Merci Karine !) : olivier et catalpa.