La pause météo…
Difficile de faire l’impasse sur le climat. Il fait parti de ces aléas qui accélèrent ou ralentissent nos chantiers. Par exemple, un matin givré, qui fait commencé la journée devant une porte close (toute congelée, la caravane !).
Mais tandis que nous mettons en veille nos outils, on profite du moment pour l’observer.
Alors on voit fleurir le jasmin d’hiver, pour la première fois (dans la haie, Jean-Luc). On a même repéré une fleur de noisetier (c’est comme si on avait trouvé un trèfle à quatre feuilles).
Et puis, il y a le vent et la pluie. On l’évoquait dans le dernier article, il n’est pas rare de voir Tarac (le cours d’eau) en cru au mois de janvier. Eh ben, ça n’a pas manqué ! On a bien fait de terminer le tunnel juste avant « la tempête ». Déjà parce qu’il aurait été plus difficile d’aller chercher du bois en forêt et aussi parce que ça fait office de test sur sa stabilité (oui, là, clairement, on se réconforte avec un argument fallacieux). Il n’empêche qu’il tient super bien, notre tunnel !
Concernant la montée des eaux, à comparer avec les photos prises l’an passé, on n’a pas encore atteint le seuil critique. Ce qui laisse une chance ou plutôt du temps à notre pont de bois pour se préparer au pire. On ne l’espère pas, car il est notre seul passage pratique le long du Tarac.
On ne peux pas terminer cet article sans parler de champignons. Là aussi, il y a de quoi observer !
Voilà donc ce qui arrive au tas de bois, quand il reste exposé à la nature. C’est à se demander, si c’est pas plus sympa de finir en champignon plutôt qu’en mouche…